Toli – Toli

Mes amis et moi sommes allés à la campagne pour des brochettes et ils m’ont envoyé chercher du pain au magasin général. Eh bien, je suis enfin venu dans cette boutique. Ouverture de la porte du magasin.

Donc j’entre, complètement ravie de la couleur locale.

En chemin, je parviens à renverser une brique qui soutenait la porte ouverte, et par-derrière, avec un rugissement incompréhensible sous le genou, quelqu’un s’appuie contre moi. Au début j’ai eu peur, puis j’ai cru que c’était un chien, je me suis retourné.

Mais non – un CHAT de la taille d’un bâtard. Et entre ses dents, il a un petit sac en plastique avec des morceaux de papier.

La vendeuse sourit et s’adresse à l’animal :

– Eh bien, Toli – Toli, les propriétaires sont-ils à nouveau paresseux et dorment-ils après des tours nocturnes ?

– Yy-ah-ah-ah, – dit le koshara d’une « voix inhumaine », déjà la chair de poule, en posant ses pattes sur les pièces jointes au comptoir, et le paquet sur le comptoir lui-même. (J’ai beaucoup lu sur la façon dont les chiens vont au magasin (ce sont des chiens), mais alors que des chats !!! )

Le vendeur, avec un mouvement habituel, sort un billet et de l’argent du sac, met des cigarettes, du chocolat, de la monnaie dans le même sac et avec les mots :

– Ah, les parasites, ils ont oublié d’écrire chewing-gum (rapporte automatiquement « gomme pour les dents »).

– Toli-Toli, grondez-les comme il se doit pour qu’ils ne vous exploitent pas, – et mettez des achats dans sa bouche.

Le chat soupire (naturellement), attrape le bagage avec ses dents, me regarde attentivement, puis la porte, puis moi du genre : « Pourquoi es-tu abasourdi ? Ouvre le portail ! »

Sur la voiture, j’ai ouvert la « porte ». Et où vas-tu?

En me faisant signe d’adieu avec sa queue, le chat-chien est rentré chez lui…

De retour au comptoir, la vendeuse, voyant mon étonnement total, me dit :

– Toli-Toli est unique. Lorsque ses propriétaires ont décidé de se procurer un animal de compagnie, ils se sont disputés sur ce qu’il fallait commencer – un chien ou un chat.

Au début, la femme a plié un bâton, ce qui est plus nécessaire et plus pratique – un chien, et son mari Vitaly Sergeevich, qu’un chat … Ou nous ne commençons pas du tout !!!

Sa femme est sage – Rina Sergeevna. Trouvé un moyen de sortir. Elle a commencé, ici, ce chat de la race Maincoons, hmm, ou Meigking, ou… Donc ils l’ont appelé Toli-Toli. Bref, elle l’a dressé, sous (un chien). Il lui apporte des chocolats avec des cigarettes. Et déjà parlant, comme pour elle-même, elle continua.

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