De nombreuses histoires ont é té racontées sur l’étonnante capacité des chats à détecter les problèmes. Mais c’est à chaque fois un plaisir de les lire. Eh bien, en voici une autre aujourd’hui.
Sur la vie d’une femme secourue par son propre animal de compagnie. Sue Mackenzie, 64 ans au moment de l’histoire, a secouru un chaton de la rue il y a une vingtaine d’années.
Mouillée, affa mée, émaciée et sale, elle l’a ramenée à la maison et l’a emballée.
Même si le chaton n’est jamais devenu affectueux ou câlin, et même s’il n’aimait pas les mains ou l’attention excessive portée à sa personne, la femme et le chat ont quand même vécu ensemble pendant 24 ans.
Mais un jour, quelque chose dans le caractère du vieux chat a changé, et changé de façon dramatique et de la manière la plus inattendue.
Le chat s’était soudainement mis à la supplier dans ses bras. Puis se glissait invariablement sur le cou de la femme, où il ronronnait et se couchait, et faisait parfois quelque chose comme une « thérapie par aiguilles » avec ses griffes.
Il miaulait bruyamment. Et tout cela était si insistant et têtu, et répété si souvent, que la femme était même un peu ef frayée.
Elle aussi avait entendu de nombreuses histoires sur des animaux domestiques qui signalaient un dan ger à leurs propriétaires.
Même si Sue Mackenzie se sentait bien. Elle a tout de même pris ses affaires et s’est rendue à l’hô pital pour faire vérifier son cou.
Et, comme il s’est avéré, pas pour rien et au bon moment – là, dans son cou. Elle avait déjà développé un mauvais néoplasme. Bien sûr, la femme a commencé un traitement et après plusieurs séances de chimiothérapie.
Si elle n’avait pas é té là quand son chat a senti le dan ger à temps. Cela aurait été un dés astre. Mais tout s’est bien passé à la fin. Fluffy est redevenu un homme intouchable et fier qu’il ne faut pas toucher.