À bien des égards, le chat nommé Pancake n’est pas différent des autres chats. Elle aime jouer, manger et aller dans sa litière. Elle dort également la plupart du temps comme les chats normaux.
Mais malgré tout, Pancake a une différence. Elle est née avec un squelette déformé et il lui manque deux pattes avant. Cette anomalie a failli coûter la vie au chaton.
Selon sa propriétaire actuelle, Meagan Malone, la famille où Pancake est née voulait immédiatement l’euthanasier. Heureusement, Meagan a découvert accidentellement le chaton et l’a adopté.
« J’ai dit que je la prendrais », dit Meagan, « je voulais prendre un chat de toute façon et je voulais m’adresser à une société protectrice des animaux. »
Meagan n’avait jamais eu de chat avec des besoins spéciaux auparavant et ne savait pas comment en prendre soin au début. Mais Meagan a découvert l’histoire d’un autre chat à deux pattes nommé Mercury, qui avait déjà acquis la célébrité sur Internet, et son histoire a inspiré la jeune fille.
« Avant que Pancake ne me soit remise, j’ai regardé les photos et vidéos avec Mercury. Je pensais qu’ils avaient bien fait avec Mercury et que Pancake devrait avoir la même chance. Si elle est différente des autres, cela ne signifie pas qu’elle devrait avoir moins de chances. »
Dans des mains attentionnées, Pancake a rapidement grandi et s’est épanouie. Le chat a rapidement compris comment se déplacer sur seulement deux pattes arrière.
« Elle marche lentement ou saute comme un lapin. Et elle aime se tenir debout comme un kangourou. Elle a appris à monter et descendre les escaliers, et à sauter sur le lit et le canapé. »
Pancake a également appris son jeu spécial.
« Elle ne peut pas tendre la main et attraper quelque chose qu’elle aime, alors elle saute simplement dessus. De plus, chaque fois que j’entre dans la pièce, elle commence à jouer à cache-cache et quand je passe à côté, elle sort de sa cachette et saute autour de moi pour jouer. »
Quand Pancake est fatiguée, elle se couche étirée à sa pleine hauteur avec son dos arqué en forme de « C ».
« Je ne pense pas qu’elle réalise même qu’elle est spéciale », dit Meagan. « Elle est tellement forte, et elle me manque beaucoup quand je suis au travail ou juste absent de la maison. Et quand je reviens, elle est toujours contente de me voir. »
