L’homme voulait tellement secourir un chat des rues qu’il a maîtrisé l’internet et y a demandé de l’aide

La gentillesse, la compassion, la persévérance et le désir d’apprendre de nouvelles choses, voilà ce qui a permis à l’Indonésien Uli Sharboni de réaliser un véritable miracle.

Uli Sharboni vivait dans l’un des villages les plus pauvres d’Indonésie. Il avait une femme et cinq petits. Il avait trois emplois, mais il n’avait évidemment pas assez d’argent.

Malgré tout, il avait la force d’aider les animaux sans abri et il y avait beaucoup de chats des rues qu’Uli Charboni nourrissait autant qu’il le pouvait.

Un jour, en rentrant chez lui, il a trouvé sur l’autoroute un chaton qui avait apparemment été heurté par une voiture. Il a eu pitié de l’animal, l’a pris, a enfourché son scooter et s’est rendu à la ville la plus proche, qui se trouvait à trois heures de route sur une route de montagne difficile.

Là, Uli a trouvé un centre, mais la réponse a été décevante: soigner le chat coûterait beaucoup d’argent. L’homme était loin d’avoir cette somme, et le sort du chat était apparemment scellé.

Uli Charboni est rentré chez lui avec son chat, ne voulant pas aban donner, mais il ne savait pas quoi faire ensuite. Il a commencé à utiliser un site de réseautage social qu’il n’avait jamais utilisé auparavant.

Il a créé une page sur ce site où il a raconté l’histoire de son chat et demandé de l’aide aux groupes de protection des animaux de compagnie en Europe et aux États-Unis. Par chance, cette demande a é té vue par les bonnes personnes.

En fin de compte, les dons ont été si importants qu’ils ont permis non seulement d’aider l’animal, mais aussi de soigner d’autres animaux de compagnie d’Uli, dont beaucoup avaient des problèmes de santé.

En outre, Uli a acheté des matériaux, dont certains ont é té trouvés dans une décharge locale, et a construit un véritable mini-refuge dans son village, avec des maisons à plusieurs étages pour les ronrons.

Cela n’a pas été trop difficile pour lui, car Uli Sharboni est bâtisseur de profession et a même construit une école dans son village natal.

De nombreux villageois, surtout les plus jeunes, ont é té contaminés par l’enthousiasme d’Uli Charboni et ont commencé à l’aider dans l’orphelinat, bénévolement et, bien sûr, gratuitement.

Les organisations indonésiennes locales de protection des animaux se sont jointes à lui pour l’aider. Uli Sharboni ne nourrit plus ses chats avec les restes de sa table ou de celle de ses voisins et amis.

Avec de la nourriture pour chats et d’autres friandises en quantités adéquates. Il surveille également la santé de ses animaux et les emmène à temps chez le centre en cas de problème.

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