Le 12 mars naît le « géant » de la musique pop européenne, Stromae, qui gagne en popularité avec les titres « Alors on Danse » et « Papaoutai ».
Cependant, malgré la grande popularité de ses compositions, il reste un « cheval noir », qui il est et comment prononcer son surnom, peu de gens le savent. Apprenons à mieux le connaître.
1. Son surnom n’est pas seulement un tas de lettres
Son vrai nom est Paul Van Aver et son nom de scène, qui se prononce comme Stromay, est « maestro » en verlan, argot français pour jeunes.
Le verlan était autrefois considéré comme une langue secrète dans laquelle les syllabes ou les sons vont à l’envers. Échangez les syllabes du mot maestro et vous obtenez Stromae. Notre héros apparaît devant nous.
2. Mère patrie: Flandre et Rwanda
Le musicien est né à Bruxelles, sa mère est originaire de Flandre et son père est un architecte originaire du Rwanda. C’est la relation difficile qu’il entretenait avec son père et la m ort de ce dernier qui sont à l’origine du titre émouvant « Papaoutai ».
3 Le titre « Alors on Danes » a été un début remarquable pour Stromae
L’artiste a commencé sa carrière musicale au début des années quatre-vingt dans une petite communauté hip-hop en Belgique. À un moment donné, il décide d’expérimenter la musique de danse qu’il compose lui-même et écrit « Alors on Danse ».
Un morceau qui parle d’oublier tous ses problèmes en dansant. La chanson est devenue un super hit très rapidement, et même Kanye West l’a remixée.
4. Ses traces sont très révélatrices
Il n’y a pas de sujet tabou pour Stromae, et il n’hésite pas à utiliser les mots. Ses morceaux abordent des sujets sociaux assez sombres. Cela n’effraie pas les fans, au contraire, cela les attire.
« Il transmet des signaux sur la crise, le chauvinisme environnemental, Twitter et la fausse richesse depuis sa tour de contrôle de Bruxelles ».
5. Il efface les différences entre les se xes.
Dans le clip du titre « Tous les Memes » de son dernier album Racins Carree, Stromae aborde les relations sous les deux angles. Habillé mi-homme, mi-femme.
La vidéo combine une grande idée, une belle chorégraphie et des costumes élégants. L’artiste lui-même habite parfaitement le rôle de l’androgyne.